Nous sommes réunis ici dans la peine, certes, pour dire le dernier adieu à notre Père Emmanuel, mais aussi dans l’espérance. L’espérance de la résurrection : c’est là le coeur de notre foi chrétienne. La mort nous déconcerte. Mais Jésus-Christ, le Ressuscité, est fidèle. « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra jamais ». Telle est notre foi chrétienne, telle est notre espérance devant le départ du Père Emmanuel, notre frère.
Nous sommes aussi ici pour rendre grâce à Dieu pour tout ce qu’il nous a apporté durant son existence au milieu de nous, pour son amour à l’égard du Seigneur et à l’égard de chacun de nous, pour son amour pour l’Église, pour son immense travail de prière et d’étude dans le domaine de l’oecuménisme.
Le P. Emmanuel a toujours vu sa vocation, à la fois monastique et oecuménique, comme un don de Dieu, un don gratuit sans aucune initiative de sa part. Tout a commencé quand il avait sept ans. Son père, revenu d’un travail en Russie, lui raconta les persécutions des soviétiques contre la religion. À cette époque, écrit P. Emmanuel lui-même, « je n’avais pas plus de sept ans, mais dans ma petite tête d’enfant apparut, certes de manière très imprécise, une réalité que je ne pouvais pas soupçonner, celle de chrétiens qui n’étaient pas “ des nôtres ”, si je puis dire, des Russes orthodoxes, mais qui étaient persécutés pour leur foi. »
Tout le monde sait que le P.Emmanuel aimait les petits gâteaux. Le vendredi saint 1931 dans l’après-midi, alors qu’il avait sept ans, il était en route vers l’église ; sa mère dut le convaincre que ce n’était pas le jour idéal pour manger de petits gâteaux. Après le sermon à l’église, le P. E. le raconte lui-même : « j’ai reçu l’appel du Seigneur pour devenir son prêtre ». Toute sa vie il est resté fidèle à cette vocation, et aussi aux petits gâteaux.
Mes frères et soeurs
Nous sommes réunis ici dans la peine, certes, pour dire le dernier adieu à notre Père Emmanuel, mais aussi dans l’espérance. L’espérance de la résurrection : c’est là le coeur de notre foi chrétienne. La mort nous déconcerte. Mais Jésus-Christ, le Ressuscité, est fidèle. « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra jamais ». Telle est notre foi chrétienne, telle est notre espérance devant le départ du Père Emmanuel, notre frère.
Nous sommes aussi ici pour rendre grâce à Dieu pour tout ce qu’il nous a apporté durant son existence au milieu de nous, pour son amour à l’égard du Seigneur et à l’égard de chacun de nous, pour son amour pour l’Église, pour son immense travail de prière et d’étude dans le domaine de l’oecuménisme.
Le P. Emmanuel a toujours vu sa vocation, à la fois monastique et oecuménique, comme un don de Dieu, un don gratuit sans aucune initiative de sa part. Tout a commencé quand il avait sept ans. Son père, revenu d’un travail en Russie, lui raconta les persécutions des soviétiques contre la religion. À cette époque, écrit P. Emmanuel lui-même, « je n’avais pas plus de sept ans, mais dans ma petite tête d’enfant apparut, certes de manière très imprécise, une réalité que je ne pouvais pas soupçonner, celle de chrétiens qui n’étaient pas “ des nôtres ”, si je puis dire, des Russes orthodoxes, mais qui étaient persécutés pour leur foi. »
Tout le monde sait que le P.Emmanuel aimait les petits gâteaux. Le vendredi saint 1931 dans l’après-midi, alors qu’il avait sept ans, il était en route vers l’église ; sa mère dut le convaincre que ce n’était pas le jour idéal pour manger de petits gâteaux. Après le sermon à l’église, le P. E. le raconte lui-même : « j’ai reçu l’appel du Seigneur pour devenir son prêtre ». Toute sa vie il est resté fidèle à cette vocation, et aussi aux petits gâteaux. Il fut toujours fidèle à sa propre tradition et fit toujours de son mieux pour la présenter aux autres chrétiens. En mon nom personnel et au nom de l'ensemble du Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des
chrétiens, j'exprime mes plus vives condoléances aux moines de Chevetogne, aux proches de Dom Emmanuel Lanne et à tous ceux qui ont partagé avec lui l'amour de l'Église. Unis dans la prière et remplis d'espérance, nous le confions au Seigneur qui « transfigurera notre corps humilié pour le rendre semblable au corps de gloire, avec la force qui le rend capable aussi de se soumettre toutes choses » (Ph 3, 21).
Nous sommes aussi ici pour rendre grâce à Dieu pour tout ce qu’il nous a apporté durant son existence au milieu de nous, pour son amour à l’égard du Seigneur et à l’égard de chacun de nous, pour son amour pour l’Église, pour son immense travail de prière et d’étude dans le domaine de l’oecuménisme.
Le P. Emmanuel a toujours vu sa vocation, à la fois monastique et oecuménique, comme un don de Dieu, un don gratuit sans aucune initiative de sa part. Tout a commencé quand il avait sept ans. Son père, revenu d’un travail en Russie, lui raconta les persécutions des soviétiques contre la religion. À cette époque, écrit P. Emmanuel lui-même, « je n’avais pas plus de sept ans, mais dans ma petite tête d’enfant apparut, certes de manière très imprécise, une réalité que je ne pouvais pas soupçonner, celle de chrétiens qui n’étaient pas “ des nôtres ”, si je puis dire, des Russes orthodoxes, mais qui étaient persécutés pour leur foi. »
Tout le monde sait que le P.Emmanuel aimait les petits gâteaux. Le vendredi saint 1931 dans l’après-midi, alors qu’il avait sept ans, il était en route vers l’église ; sa mère dut le convaincre que ce n’était pas le jour idéal pour manger de petits gâteaux. Après le sermon à l’église, le P. E. le raconte lui-même : « j’ai reçu l’appel du Seigneur pour devenir son prêtre ». Toute sa vie il est resté fidèle à cette vocation, et aussi aux petits gâteaux.
Mes frères et soeurs
Nous sommes réunis ici dans la peine, certes, pour dire le dernier adieu à notre Père Emmanuel, mais aussi dans l’espérance. L’espérance de la résurrection : c’est là le coeur de notre foi chrétienne. La mort nous déconcerte. Mais Jésus-Christ, le Ressuscité, est fidèle. « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; et tout homme qui vit et qui croit en moi ne mourra jamais ». Telle est notre foi chrétienne, telle est notre espérance devant le départ du Père Emmanuel, notre frère.
Nous sommes aussi ici pour rendre grâce à Dieu pour tout ce qu’il nous a apporté durant son existence au milieu de nous, pour son amour à l’égard du Seigneur et à l’égard de chacun de nous, pour son amour pour l’Église, pour son immense travail de prière et d’étude dans le domaine de l’oecuménisme.
Le P. Emmanuel a toujours vu sa vocation, à la fois monastique et oecuménique, comme un don de Dieu, un don gratuit sans aucune initiative de sa part. Tout a commencé quand il avait sept ans. Son père, revenu d’un travail en Russie, lui raconta les persécutions des soviétiques contre la religion. À cette époque, écrit P. Emmanuel lui-même, « je n’avais pas plus de sept ans, mais dans ma petite tête d’enfant apparut, certes de manière très imprécise, une réalité que je ne pouvais pas soupçonner, celle de chrétiens qui n’étaient pas “ des nôtres ”, si je puis dire, des Russes orthodoxes, mais qui étaient persécutés pour leur foi. »
Tout le monde sait que le P.Emmanuel aimait les petits gâteaux. Le vendredi saint 1931 dans l’après-midi, alors qu’il avait sept ans, il était en route vers l’église ; sa mère dut le convaincre que ce n’était pas le jour idéal pour manger de petits gâteaux. Après le sermon à l’église, le P. E. le raconte lui-même : « j’ai reçu l’appel du Seigneur pour devenir son prêtre ». Toute sa vie il est resté fidèle à cette vocation, et aussi aux petits gâteaux. Il fut toujours fidèle à sa propre tradition et fit toujours de son mieux pour la présenter aux autres chrétiens. En mon nom personnel et au nom de l'ensemble du Conseil pontifical pour la promotion de l'unité des
chrétiens, j'exprime mes plus vives condoléances aux moines de Chevetogne, aux proches de Dom Emmanuel Lanne et à tous ceux qui ont partagé avec lui l'amour de l'Église. Unis dans la prière et remplis d'espérance, nous le confions au Seigneur qui « transfigurera notre corps humilié pour le rendre semblable au corps de gloire, avec la force qui le rend capable aussi de se soumettre toutes choses » (Ph 3, 21).
Les témoignages de sympathie fusent de toutes parts.
À ceux du cardinal Kasper et du cardinal Sandri, s’ajoutent ceux
-de Mgr Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles
-de Mgr Bonny, évêque d’Anvers
-de Mgr Van Cottem, le nouvel évêque de Namur
-et de son auxiliaire, Mgr Warin
-de notre Père Abbé Primat Notker Wolff
qui tous auraient voulu être avec nous aujourd’hui ;
-mais aussi de Mgr Hilarion, Président du Département des Relations
extérieures du Patriarcat de Moscou,
-de Mgr Athénagoras, du Patriarcat oecuménique de Constantinople
-de l’archevêque de Cantorbéry, Rowan Williams
-du Secrétaire Général du Conseil OEcuménique des Églises, Olav Fykse
Tweit
-et des moines du Monastère Saint-Macaire, en Égypte,
-et de Enzo Bianchi avec la Communauté de Bose
-et de tant d’autres, trop nombreux pour être tous cités …
-et puis vous tous, famille et amis, qui vous êtes joints à nous au
moment où nous confions le Père Emmanuel à la miséricorde de Dieu.
Après que nous l’aurons déposé en terre, nous pourrons encore évoquer samémoire, des souvenirs qui nous sont chers.Vous êtes tous invités à repasser au monastère partager le repas de la Communauté, après la cérémonie du cimetière.
Mais avant cela, encore et encore prions pour le repos de l’âme du PèreEmmanuel.
Nessun commento:
Posta un commento